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Auteur Sujet: BOINC dans la presse  (Lu 4383 fois)

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Hors ligne JeromeC

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le: 27 February 2017 à 13:37
Il me semblait qu'on avait un sujet pour les articles sur BOINC, mais je le trouve pas. Si un modo le trouve et veut me fusionner, no problemo !

David Anderson cite cet article sur le forum BOINC : https://www.natureindex.com/news-blog/us-supercomputer-needs-more-people-power

Citer
US supercomputer needs more people power

A large computing network that has helped design cancer drug candidates and search for extra-terrestrial life is struggling to maintain its volunteer network.

A citizen science initiative that encourages public donations of idle computer processing power to run complex calculations is struggling to increase participation.

Berkeley Open Infrastructure for Network Computing (BOINC), a large grid that harnesses volunteered power for scientific computing, has been running for 15 years to support research projects in medicine, mathematics, climate change, linguistics and astrophysics.

But, despite strong demand by scientists for supercomputers or computer networks that can rapidly analyse high volumes of data, the volunteer run BOINC has struggled to maintain and grow its network of users donating their spare computer power. Of its 4 million-plus registered users, only 6% are active, a number that has been falling since 2014.

“I'm constantly looking for ways to expose sectors of the general population to BOINC and it's a struggle,” says David Anderson, a co-founder and computer scientist at the University of California Berkeley.

Anderson says BOINC, which is funded by the National Science Foundation, currently hosts 56 scientific projects that span an international network of more than 760,000 computers. The platform’s combined processing power simulates a supercomputer whose performance is among the world’s top 10.

Access to such supercomputers can be expensive and require lengthy waits, so BOINC offers research groups access to processing power at a fraction of the prohibitive cost.

“A typical BOINC project uses a petaflop of computing — which typically costs maybe USD $100,000 a year. If you were to go to buy the same amount of computing power on the Amazon cloud, it would cost around $40 million,” says Anderson.

Kevin Vinsen, a scientist at the International Centre for Radio Astronomy Research, Australia, leads a project that analyses photos of galaxies. BOINC’s helps analyse the SkyNet's huge dataset, which is especially valuable given the project's shoestring budget.

“In BOINC I can have 20,000 people working on it at the same time. Each one is doing a small portion of the galaxy,” he says.

Anderson wants to connect BOINC to major supercomputer facilities in the United States, to reduce the lengthy wait researchers have to process their data. He is working to add the network to the Texas Advanced Computing Center as an additional resource for researchers.

Trying to draw a crowd

Despite several initiatives to boost participation, BOINC has struggled to increase its number of users donating computing power. It partnered with a Taiwanese mobile phone company, HTC, which preinstalled a BOINC app on Android phones to encourage users to donate their handset’s idle processing power to the network. But the app didn’t really take off.

Anderson is also talking with video game manufacturers to include BOINC in gaming consoles, so that players that choose to contribute to BOINC can be rewarded with game credits.

Some researchers get creative. Vinsen rewards contributors to his project by sending Lego sets. He’s looking into 3D printing to make custom toys as a further incentive.


Citer
Le supercalculateur américain a besoin de plus de puissance
[ben oui, c'est bien ça qu'ils ont mis...]

Un grand réseau informatique qui aide à concevoir des médicaments candidats contre le cancer et effectue de la recherche sur la vie extraterrestre lutte pour maintenir son réseau de bénévoles.


Une initiative citoyenne pour la science qui encourage le don de puissance de traitement informatique inactive pour exécuter des calculs complexes se bat pour accroître la participation.

Berkeley Open Infrastructure for Network Computing (BOINC), une grande grille qui exploite la puissance de calcule bénévole pour l'informatique scientifique, fonctionne depuis 15 ans pour soutenir des projets de recherche en médecine, en mathématiques, sur le changement climatique, en linguistique et en astrophysique.

Mais, en dépit de la forte demande des scientifiques pour les superordinateurs ou les réseaux informatiques permettant d'analyser rapidement de grands volumes de données, le réseau bénévole BOINC a lutté pour maintenir et accroître son réseau d'utilisateurs de partage de puissance de calcul inutilisée. Parmi ses 4 millions d'utilisateurs enregistrés, seulement 6% sont actifs, un nombre qui a diminué depuis 2014.

«Je suis constamment à la recherche de moyens pour faire connaître BOINC à de nouveaux secteurs de la population générale et c'est une lutte», explique David Anderson, co-fondateur et informaticien à l'Université de Californie à Berkeley.


Anderson dit que BOINC, qui est financé par la National Science Foundation, héberge actuellement 56 projets scientifiques qui couvrent un réseau international de plus de 760 000 ordinateurs. La puissance de traitement combinée de la plate-forme simule un superordinateur dont la performance figure parmi les 10 premiers du monde.

L'accès à de tels supercalculateurs peut être coûteux et nécessiter de longues attentes, de sorte que BOINC offre aux groupes de recherche un accès à la puissance de traitement à une fraction de son coût prohibitif.

"Un projet typique de BOINC utilise un petaflop de calcul - qui coûte typiquement peut-être $ 100.000 par an. Si vous deviez acheter la même quantité de puissance de calcul sur le nuage d'Amazon, cela coûterait environ 40 millions de dollars », dit Anderson.

Kevin Vinsen, scientifique au Centre international de recherche en radioastronomie, en Australie, dirige un projet qui analyse des photos de galaxies. BOINC aide à analyser l'énorme jeu de données de SkyNet, ce qui est particulièrement utile compte tenu du budget minimal du projet.

"Avec BOINC, je peux avoir 20.000 personnes travaillant sur le projet en même temps. Chacun traite une petite partie de la galaxie", dit-il.

Anderson veut connecter BOINC aux grandes installations de supercalculateurs aux États-Unis, afin de réduire le temps d'attente des chercheurs pour traiter leurs données. Il travaille à ajouter le réseau BOINC au Texas Advanced Computing Center comme une ressource supplémentaire pour les chercheurs.

Essayer de dessiner une foule

En dépit de plusieurs initiatives visant à accroître la participation, BOINC a eu du mal à accroître le nombre d'utilisateurs faisant don de la puissance de calcul. Elle s'est associée à une compagnie taïwanaise de téléphonie mobile, HTC, qui préinstallait une application BOINC sur leurs téléphones Android pour encourager les utilisateurs à faire don de la puissance de traitement inactive de leur téléphone au réseau. Mais l'application n'a pas vraiment décollé.

Anderson discute également avec les fabricants de jeux vidéo pour inclure BOINC dans les consoles de jeu, afin que les joueurs qui choisissent de contribuer à BOINC puissent être récompensés par des crédits de jeu.

Certains chercheurs deviennent créatifs. Vinsen récompense les contributeurs à son projet en envoyant des ensembles Lego. Il regarde dans l'impression 3D pour faire des jouets personnalisés comme une incitation supplémentaire.

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Réponse #1 le: 27 February 2017 à 20:29
On va s’autoriser de discuter des articles posté... et pas juste poster un liste d'articles à la file !

Perso, je tombe de haut... je découvre cette histoire de supercalculateur américain et j’apprécie que moyennement !!!
j'imagine que l'on pourrait continuer de cruncher sur ce que l'on veut et que l'on "donnera" notre puissance non utilisé si le projet est en caraf !

en suite SI on voit le sens inverse, si un jour un projet annonce avoir eut une puissance phénoménal car un supercalculateur l'a aidé par BOINC alors je revisserais mon idée... mais jamais de ma vie je ne laisserais une fac faire "ce qu'elle veut de mon pc" !

en France nous avons les mêmes besoins/problèmes (je suis à fond dedans, je bosse dans la recherche académique)... j'ai perso pas envie de laisser un chèque en blanc pour les US et leur proportion à tout breveter (même et surtout  les facs).

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Hors ligne JeromeC

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Réponse #2 le: 27 February 2017 à 22:13
Heu en fait je comprends pas bien ta remarque, le seul point limite de l'article c'est qu'il assimile Boinc à un "système US" (car je pense que l'auteur est americano-centré) mais au final c'est bien du Boinc que l'on connait (en tant que puissance de calcul équivalente à un supercomputer) dans sa globalité (mondiale) dont David A parle, et donc c'est le déclin du nombre de participants à Boinc qu'il évoque.

Paradoxalement d'ailleurs, puisqu'il y aurait de moins en moins de participants mais que Boinc reste dans le top 10, donc ça veut dire que les machines qui restent sur boinc sont de plus en plus puissante, ou alors c'est juste parce qu'il cumule la puissance de toutes les composantes de Boinc CPU+GPU+Asics, puisque les stats de puissance de Boinc ne font pas le distingo (à part quelques sites comme BoincStats qui propose les deux, StatSeb qui ne prend pas les Asics du tout) et du coup pour tous les projets hors Asics la puissance dispo serait en chute libre ? il faudrait étudier la progression en Mips projet par projet pour analyser plus finement...

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Hors ligne [AF>Libristes>Jip]Augure

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Réponse #3 le: 27 February 2017 à 23:02
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Anderson veut connecter BOINC aux grandes installations de supercalculateurs aux États-Unis, afin de réduire le temps d'attente des chercheurs pour traiter leurs données. Il travaille à ajouter le réseau BOINC au Texas Advanced Computing Center comme une ressource supplémentaire pour les chercheurs.

J'ai peur du contrôle des calcules... il est dit qu'il veut brancher BOINC comme ressources supplémentaires aux chercheurs US !

sauf que les supercalculateurs des labo voir des facs permettent aux universitaires (en france aussi) de faire la recherche qu'ils veulent et si les résultats sont au rdv ils peuvent au choix, publier ou breveter !

Certains labo sont très avancés et très financé (dans mon institut nous avons au moins 3 serveur de calcul intensif d'au moins 500 CPU chacun), si leur recherche abouti ils pourront monter leur start-up !

moi je suis sur BOINC pour aider les petits labos dont les recherches ne leur permet pas d'avoir des financements suffisamment important pour finir leurs recherche.

j'aime l'ouverture... mais pas incontrôlé !

si ces labos ont besoin de cette puissance, rien ne les empêche de monter des projets BOINC de se présenter et de nous donner envie de les aider en retour !
je n'ai pas envie de cruncher sur un projet Texas@Home... en leur donnant un chèque en blanc !


[spoiler] j'espère que j'ai bien compris le sens de ma citation :D [/spoiler]

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Hors ligne Matt11

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Réponse #4 le: 27 February 2017 à 23:54
Je suis certain (sans l'ombre d'un doute) qu'avec BOINC on aura toujours la liberté de cruncher pour le projet que l'on veut. Et ce qui garantie cette liberté c'est justement le fait que BOINC est un logiciel libre.

Après il est pas dit que ces "labos US" montent un gros projet (genre WCG) avec une grosse campagne de pub mais tu auras toujours la possibilité de ne pas "travailler" pour eux.

PS: Après relecture de l'article je crois que l'idée d'Anderson est plus de faire calculer des supercalculateurs (déjà existant) sur des projets BOINC que le contraire.


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Hors ligne JeromeC

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Réponse #5 le: 28 February 2017 à 12:44
Non il veut faire ce que EDGI voulait faire : une passerelle depuis des projets universitaires (sur des grosses plateformes de calcul plus ou moins fermées) vers le monde de boinc, qui leur est souvent imperméables (= ils ne connaissent pas / ne veulent pas connaître). Il cherche des moyens de rendre Boinc plus connu, utilisé et populaire, pas de gruger les boinceurs...

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Hors ligne nabz

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Réponse #6 le: 28 February 2017 à 19:35
Je comprends la même chose.

Contrôle de BOINC : SAM - BoincTasks 1.80 béta - Bureau à distance Chrome
Calculs : Boinc 7.16.6 SE - VirtualBox 6.1.12 -  TThrottle 7.72 - Pilote AMD 20.4.2 - Pilote nVidia 451.67
OS et utilitaires : Win10 Pro x64 rev 20.04 - Core Temp 1.15 - CCleaner 5.69


Hors ligne [AF>Libristes>Jip] Elgrande71

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Réponse #7 le: 03 March 2017 à 17:39
Oui apparemment Monsieur Anderson souhaite démocratiser la plate forme BOINC .

Debian - Distribution GNU/Linux de référence
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Emmabuntüs

Jabber elgrande71@chapril.org


Hors ligne JeromeC

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Réponse #8 le: 04 March 2017 à 11:44
Je pense qu'il a toujours voulu, Boinc est destiné au grand public, ils ont toujours cherché à rendre l'interface du manager plus simple, la recherche des projets puis évidente, ils ont ouvert à android, etc.

Mais il constate ces stats perturbantes et essaye de réagir, même s'il y a d'autres signaux pas réconfortants par ailleurs (perte des devs directs de boinc, de moins en moins de releases, cf le topic des nouvelles versions).

Et comme je le disais plus haut l'analyse de ces stats me paraît un peu rapide, "il faudrait étudier la progression en Mips projet par projet pour analyser plus finement... "

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Hors ligne [AF>Libristes>Jip]Augure

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Réponse #9 le: 04 March 2017 à 17:21
Non il veut faire ce que EDGI voulait faire : une passerelle depuis des projets universitaires (sur des grosses plateformes de calcul plus ou moins fermées) vers le monde de boinc, qui leur est souvent imperméables (= ils ne connaissent pas / ne veulent pas connaître). Il cherche des moyens de rendre Boinc plus connu, utilisé et populaire, pas de gruger les boinceurs...

sans "gruger" les boinceurs, comment allons nous être informer du calcul fait sur notre machine si les labos passent pas leur supercalculateur pour demander de la puissance pour UN calcul à Boinc !

je vais t'expliquer la problématique chez moi.
Comme je te l'ai dit nous avons grosso-modo 3 supercalculateurs et les utilisateurs n'ont pas de "programme à long terme" à faire tourner dessus.
Les utilisateurs sont en générale des structuralistes (X-ray, Microscopie Elec et Mass spec).
Ils ont chacuns leur thématique (TRES différentes) oncologie, virologie, levure, chimie orga... aucun lien entre eux, pourtant TOUS quand ils viennent collecter des données doivent ensuite lancer la "compilation de leur résultats" sur les supercalculateurs de l'institut ce qui va prendre entre 4h et 1semaine.
... pendant 1 semaine, personne d'autre ne peut lancer leur script...

si nous avions un "BOINC" derrière (j'ai essayé... promis ! :D ) nous pourrions lancer 2~3 compilations en même temps... sans que les supercalculateurs ne subissent de ralentissement, mais comment prévenir les gents sur l'utilisation des ressources alors qu'elles n'ont AUCUN lien entre elles...
 :??:

après je comprend l'idée, la france tente de faire pareil en reliant les serveurs de leur université entre elles... c'est juste que cela change de dimension !
ce n'est plus pareil que de faire des calcules sur le long terme avec un site web bien expliqué !
(perso je n'ai jamais cruncher pour un projet non détaillé... mais ce n'est que MON avis perso)

>>


Hors ligne JeromeC

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Réponse #10 le: 07 March 2017 à 23:32
Je ne suis pas sûr si on peu d'ores et déjà conclure de ce qu'ils arriveraient à mettre en œuvre, ou pas... là tu pars déjà sur une possibilité / solution particulière au problème, qu'est-ce qui prouve que ça serait (serait) déployé comme ça ? on peut aussi imaginer un espèce de projet tampon où le cruncher puisse s'abonner à des sous-projets précis, comme avec feu Edges...

A mon avis ils seraient conscient que mettre en place une boite noire pour demander du CPU / GPU à des crunchers particuliers sans que ces derniers puissent savoir sur quoi ils font calculer leur bécane serait nécessairement un frein sérieux à l'adoption de leur "projet"...

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Hors ligne zelandonii

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Réponse #11 le: 12 October 2017 à 20:40





"Le monde est trop dangereux pour qu'on y vive, non pas à cause des gens qui font le mal, mais à cause de ceux qui les laissent faire sans réagir."  Albert Einstein.


Hors ligne JulienL

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Hors ligne zelandonii

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Réponse #13 le: 12 October 2017 à 20:46
C'est bon, réparé.





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naz

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Réponse #14 le: 12 October 2017 à 20:48
Super article! Merci pour le partage  :jap:



Hors ligne JulienL

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Réponse #15 le: 12 October 2017 à 20:55
C'est bon, réparé.
Merci bien et merci pour le partage super article



Hors ligne Maurice Goulois

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Réponse #16 le: 12 October 2017 à 21:09
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Anderson veut connecter BOINC aux grandes installations de supercalculateurs aux États-Unis, afin de réduire le temps d'attente des chercheurs pour traiter leurs données. Il travaille à ajouter le réseau BOINC au Texas Advanced Computing Center comme une ressource supplémentaire pour les chercheurs.

J'ai peur du contrôle des calcules... il est dit qu'il veut brancher BOINC comme ressources supplémentaires aux chercheurs US !

sauf que les supercalculateurs des labo voir des facs permettent aux universitaires (en france aussi) de faire la recherche qu'ils veulent et si les résultats sont au rdv ils peuvent au choix, publier ou breveter !

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moi je suis sur BOINC pour aider les petits labos dont les recherches ne leur permet pas d'avoir des financements suffisamment important pour finir leurs recherche.

j'aime l'ouverture... mais pas incontrôlé !

si ces labos ont besoin de cette puissance, rien ne les empêche de monter des projets BOINC de se présenter et de nous donner envie de les aider en retour !
je n'ai pas envie de cruncher sur un projet Texas@Home... en leur donnant un chèque en blanc !


[spoiler] j'espère que j'ai bien compris le sens de ma citation :D [/spoiler]

EDGeS@home était la réponse à ce même besoin en Europe, il n'y a pas eu de démarche similaire pour les US, à ce que je sache, mais la techno est toujours là chez Sztaki. EDGI était le "proof of concept", la vitrine de démo.

Un élément que l'on ne peut pas pondérer de notre coin crunchers, c'est le nombre d'universités qui utilisent Boinc en interne sans façade publique avec une passerelle vers d'autres universités (dont Sztaki par exemple).

Il est tout à fait possible qu'il y ait un réseau Boinc invisible pour nous et même D.A. s'il ne pose ce genre de questions. Comme les labos pharma et autres, les universités peuvent ne pas vouloir rendre publiques leur recherches :)

SZTAKI a permis la création de la techno qui facilite l'échange de travaux (tâches...) d'origines diverses (supercalculateurs, autres grids...).

Edit :): s'il on a suivi les stades d'évolution d'EDGeS on comprend que la cible principale n'était pas les crunchers comme nous mais plutôt un interconnexion entre universités. C'était une directive européenne mais l'état fédéral américain n'est jamais bien accueilli avec ce genre de démarches.
« Modifié: 12 October 2017 à 21:27 par Maurice Goulois »



Hors ligne Xe120

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Réponse #17 le: 13 October 2017 à 21:18
Certains l'avait vu celui-là:


http://www.france24.com/fr/20170310-smartphones-contribuer-recherche-contre-cancer-calcul-distribue-technologie-sciences


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© Lionel Bonaventure, AFP | Plus de 720 000 volontaires ont prêté la puissance de calcul de leurs téléphones pour faire avancer la recherche dans le cadre du projet d'IBM. 
Et non, perdu...




Hors ligne JeromeC

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Réponse #18 le: 14 October 2017 à 10:23
"Et non perdu" = tu l'avais pas vu ? moi non plus hein :)

Ou perdu = ça parle pas de boinc ? WCG c'est du boinc hein... (d'ailleurs c'est le projet qui permet le plus facilement de convaincre les gens de commencer sur boinc, "biomed les méchantes maladies" toussa)
« Modifié: 14 October 2017 à 10:27 par JeromeC »

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Hors ligne Kao

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Réponse #19 le: 14 October 2017 à 10:29
Et surtout le fait que ça soit fait par IBM ça doit rassurer les sceptiques un petit peu :o

Niyati : AMD Zen 3 Ryzen 9 5950x / 32Go@3800MHz DDR4 / Asus ROG RTX 3080Ti OC / Windows 10 Pro
Azrael : OVH RISE-LE-2 Intel Xeon E5-2650v2@2.6GHz(3.4GHz Turbo) / 64GB DDR4 ECC 1600MHz


Hors ligne JeromeC

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Réponse #20 le: 14 October 2017 à 10:39
Oui bien sûr, mais tous les moyens sont bons :D

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