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C'est tout regaillardi que je pars de l'avant, car plus j'avance dans la pénombre et plus je recule dans la lumière vers la sortie du tunnel qui est derrière.Il faut parfois savoir se retourner pour éviter les mauvaises surprises postérieures, même si certains ne pensent pas toujours à se nettoyer les oreilles.Soudain, un grand dadais pas très pas très habile de ces mains et avec les doigts crochus et sa moustache verte il partit vers de nouveaux horizons.Sur son solex repeint en bleu avec une fleur fanée dans le fond d'une poche qui suppurait d'un mauvais jus visqueux.Où allait-il? Peut-être à pied en Chine ?Ce n'est que le début, continuons le combat pour nos freres opprimés par des amazones à cheval de bois tendre.Cependant, après réflexions approfondie, anticipons les réactions du duc sans trou de serrure afin qu'il ne puisse pas retourner vers sa trottinette à moteur dont les pneux d'origine sont plutôt mauvais.Mais bon, à quoi bon manger des nouilles quand on peut avaler des couleuvres.Car ces dernières bien qu'épicées ont des colliers étonnement lourds et contrairement aux idées ce ne sont que des plumes.Il faut rappeler que la légende disait alors que celui qui avalait des couleuvres sans les faire cuire se transformait en couleuvre (et oui !).Le principal désavantage, était le suivant : quand on aime on ne compte pas les couleuvres.Les mois suivant on put voir un nouveau système de fission nucléaire permettant de partir dans la galaxie du capitaine Flam désireux de faire une belle rencontre. mais désolé, il vomit sur la banquette de son vaisseau tentaculaire, et se heurta au front proéminent du fou volant qui venait de griller la priorité spatio-temporelle au prince des contrées du Sud qui joue au bilboquet tout en pilotant son engin rouge et noir à réaction filoguidée et à frein hydrospatiofluide qui ne freinait même pas dans la poussière confins de l'espace construit par rinot.Soudain, en août, période de vacances, il repartit vers des contrées enchanteresses, tout en vérifiant la véracité des récits anciens gravés sur un postit collé sur le bout de son index à moité enfoui sous le ballast de la route des transhumances.Il s'en fallu de peu pour retrouver notre ami accoudé au comptoir un verre de shouchen en travers du gosier.Pourtant il n'aimait pas ce bureau depuis le temps qu'il y habitait, car cela sentait une odeur de beurre rance, caché dans les recoins de l'entre-jambe de la fermière qui zappait volontiers sa toute petite petite boite à Michoco.Petit choco deviendra grand et gros, bien succulent et bien sucré, ça colle aux dents, aux vraies et aux dentiers les bonbons et autres friandise collante comme le caramel mou coulant sur le nombril de la jeune et jolie dentiste au frou-frou rose orangé et légèrement verdâtre sur le coté de mon p... en rade depuis le début de la semaine des quatres nains chauves et habitué à servir le café bien froid.
[Tu peux écrire tes mots en entier, ici il n'y a pas de censure... c'est de la création littéraire.]