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Dans un endroit sans air cela n'arrête pas la réaction chimique ?
SI il y a des traces, met là dans du coca :whistle: . Effet garantie. Et après ça, tu aura peur pour ton estomac à chaque fois que tu boira une gorgée de coca
Le PSG vient de gagner sur L'om 4 à 2 à marseille en plus :sol:
rom il est pleiiiiiiiiiiiiiiiin de pognoooooooooooooon!!! :whistle:
Sur le tableaux de chasse du PSG, déjà Bordeaux, maintenant L'om, le prochain c'est L'ol
ma fille ne m'a laissé en nommer qu'un : "boinc"en l'absence d'APN, j'ai branché la webcam pour guetter les 2 derniers.je me le mettrai en avatar Boinc ne sera bouffé que si c'est un poulet. Si c'est une poule, elle sera mise à produire... non pas des cobblestones, mais des oeufs.Batarde de Sussex et de Pompet, ça devrait donner !
[« 2500 langues en danger dans le monde, dont 8 idiomes suissesQuelque 2500 des 6000 langues parlées dans le monde sont en danger, a averti l'Unesco. Parmi elles figurent huit langues parlées en Suisse. Le nombre des idiomes menacés a été multiplié par quatre depuis la première publication de l'Atlas international des langues en péril, en 1996.En Suisse, la langue la plus menacée est le franc-comtois. Cet idiome, parlé dans le nord de la France et le Jura, est considéré comme « sérieusement en danger », soit le troisième degré d'une échelle de cinq.Le rhéto-romanche, le francoprovençal (Vaud), le lombard (Tessin et Grisons), le bavarois (parlé à Samnaun, dans les Grisons), le yiddisch et la langue tzigane Sinti sont considérés comme « en danger », soit le deuxième degré de cette échelle. La langue « alémanique » est quant à elle « vulnérable ».Cette hausse ne signifie toutefois pas « une aggravation de la situation », a observé Françoise Rivière, sous-directrice générale de l'Unesco. « Notre base s'est élargie, notre méthodologie s'est développée et nous couvrons mieux les terrains ».L'Inde (196), les Etats-Unis (192), l'Indonésie (147), la Chine (144), le Mexique (144) et la Russie (136) sont les pays où il y a le plus de langues en péril.Le linguiste australien Christopher Moseley, qui a dirigé l'équipe de 25 chercheurs, a noté un « paradoxe » selon lequel « plus grande est la diversité linguistique, plus grand est le nombre de langues en péril ».Les facteurs « militaire » quand il y a « volonté d'éradiquer la vision du monde d'un groupe » et « psychologique » avec la « volonté d'un groupe de se soumettre à la langue dominante » expliquent la menace sur les langues.En plus des politiques éducatives, la pratique est le meilleur moyen de préserver les langues de ces menaces. « Le plus important est de redonner la fierté de parler une langue car il y a tout un univers qui va avec une langue », a estimé Mme Rivière.(ats) »]